« Marc Perelman s’indigne […] du culte inepte rendu à un sport déformé parle dopage et par des enjeux financiers considérables. » (Golias magazine) | « Marc Perelman n’a jamais fait dans la dentelle. Son Stade barbare, proposé en prélude de la dernière Coupe du monde [1998], présupposait que toutes réunions sportives portaient en elles les germes du pire. »(B.H., l’Équipe magazine) |
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